lalalalalolololo

La campagne. Un bel endroit bordé de grands arbres feuillus qui, en cette période, fleurisse. Un grand et spacieux endroit bordé souvent d’un grand lac ou les enfants s’amuse l’été. Un endroit de détente ou les gens se réunisse pour passer un bon moment de gaité. Un endroit ou on ne sens pas souvent la tristesse et les tracas que l’on a dans notre tête. Quand on est ici, à la campagne, on profite de la vie du temps qui nous est donné.

C’était la fin de l’après-midi. Les familles commençaient à rangé leurs affaires dans leurs voitures garé non loin sur un parking. Les enfants, eux, continuaient de s’amusé au bord de l’eau. Ils s’éclaboussaient et se couraient après. L’eau qui étais rejeté des mains de ces petits mômes, ce colorais en une belle couleur rose, orangé, dû au soleil couchant et ces rayons.

Un jeune homme remarquais tous sa de la ou il était. Le grand brun assez rêveur les surveillaient à moitié même si pourtant il ne connaissait aucun de ces gamins. Un sourire lui apparut. Un assez grand d’ailleurs. On aurait put penser a cette époque que cette personne étais fils unique. Ce qui en était vraiment le cas. L’homme inconnu restait ici pour la belle et bonne raison de rêver à ce qu’il aurait put avoir. A pensé à un bout de sa vie qu’il aurait pu faire.

L’homme s’étira. Il eut un grand et long bâillement de fatigue. Il regardait autour de lui avant de reposer ces lunettes de soleil sur ces grands yeux brun. Ensuite, il prenait appuis sur ces pieds et forçai un peut pour ce tenir enfin debout. L’homme s’avançait un peut vers le lac. Il prenait un peut d’eau. Après sa il posait ces mains trempé sur son visage, plein de sueur du a l’air chaud, pour ce rafraichir. Le regard ébahit des jeunes mômes se fît. Ils commençaient à tourné autour du grand homme qu’ils surnommaient « Oni-San ». L’homme souriait mais il dût les quitté. Les saluant il commençait à s’avancé prêt du grand ponton de bois assez solide.

/ CLAP / CLAP / CLAP /

On entendait ces bruits de pas. Celle de ces sandales qui se frottaient à la paroi de bois du grand ponton. Au centre du lac ce trouvait une plate-forme. C’est ici que le grand brun du nom de Sanosuke s’arrêta. Il contemplait une dernière fois le lac avec un soupir de satisfaction. Ceci prouvait qu’il c’était parfaitement détendu. A ce moment la il ne se serrait pas douté que quelque chose allais ce passé.

Sur la rive les parents d’une jeune petite fille criaient son nom :

Père : « Anna ! Anna ou est tu ?! »
Mère : « Oui ! Anna où te caches-tu bon sang ! »

Sanosuke commençait a s’inquiété. Pourtant il était sur de n’avoir vu personne partir. Il était un peu chamboulé a ce moment précis. L’homme secouait sa tête et reprenais sa route ne ce doutant pas que sa pouvais être si grave.

/// ARGH !!! Aidé moi !!! \\\\\\\\\\\\

Ces mots était arrivé aux oreilles de Sanosuke qui c’était retourné brusquement. C’était la voix d’une petite fille. Le bruit était flou et presque imperceptible. L’homme ce penchais sur les cordes qui tendais le ponton. Il regardait de gauche à droite, de haut en bas. Plus loin il venait d’apercevoir la petite fille dans l’eau, entrain de se débattre pour évité de se noyé. Elle continuait de crié de l’aide. Les hommes et les femmes c’étaient réunit au bord du lac. Sanosuke étend le plus prêt de la petit fille n’avais pas attendu plus longtemps. Après avoir enlevé son Tee-shirt, il plongeait à l’eau.

Des éclaboussements commençait a ce faire du au mouvement de bras répétitif de l’homme qui allait a toute allure. C’était un peu une course contre la montre car la petite Anna n’allait pas encore tenir très longtemps. L’homme commençait à fatigué et à une quinzaine de mètres, il c’était immergé lui et tout son corps dans l’eau assez froide.

Etant sous l’eau, il s’entait moins la fatigue et gagnait plus de vitesse. Après un petit moment il commençait à ressortir. Il venait d’attrapé la petite fille et il commençait à revenir sur le bord.

Il venait d’arrivé sur la rive. Les parents qui applaudissaient tous venaient voir si la jeune fille était en bonne santé. Après les remercîment l’homme continuera sa route laissant les familles nombreuse sous surveillance.

La campagne. Un bel endroit bordé de grands arbres feuillus qui, en cette période, fleurissaient. Un grand et spacieux endroit bordé souvent d’un grand lac ou les enfants s’amuse l’été. Un endroit de détente ou les gens se réunissaient pour passer un bon moment de gaité. Un endroit ou on ne sens pas souvent la tristesse et les tracas que l’on a dans notre tête. Quand on est ici, à la campagne, on profite de la vie du temps qui nous est donné.

C’était la fin de l’après-midi. On entendait les oiseaux chanter là bas, au fond de la clairière. Les petits écureuils commençaient à zigzagué d’arbres en arbres pour enfin retombé sur le gazon verdoyant. Au niveau du lac, on voyait les truites qui plongeaient de temps à autres dans l’eau. Quand elles retombaient, ceci formait des petites ondes créant de toutes petites et fines vagues pas plus grande qu’un petit doigt. Au niveau des bancs, les familles commençaient à rangé leurs affaires dans leurs voitures garé non loin sur un parking. Les enfants, eux, continuaient de s’amusé au bord de l’eau. Ils s’éclaboussaient et se couraient après. L’eau qui étais rejeté des mains de ces petits mômes, ce colorais en une belle couleur rose, orangé, dû au soleil couchant et ces rayons.

Un jeune homme remarquais tous sa de la ou il était. Le grand brun assez rêveur les surveillaient à moitié même si pourtant il ne connaissait aucun de ces gamins. Un sourire commençait à apparaitre. Un assez grand d’ailleurs. On aurait put penser a cette époque que cette personne étais fils unique. Ce qui en était vraiment le cas. L’homme inconnu restait ici pour la belle et bonne raison de rêver à ce qu’il aurait put avoir. A pensé à un bout de sa vie qu’il aurait pu faire.

L’homme s’étirait calmement comme si il venait de se réveiller. Il venait d’attraper un grand et long bâillement de fatigue. Il regardait autour de lui avant de reposer ces lunettes de soleil sur ces grands yeux brun. A ce moment il prenait appuis sur ces pieds et forçait un peut pour ce tenir enfin debout. L’homme s’avançait un peut vers le lac. Il prenait un peut d’eau dans ces mains sèches et un peu rouge avant de les aplatir sur son visage, plein de sueur du a l’air chaud, pour ce rafraichir. Le regard ébahit des jeunes mômes se fît. Ils commençaient à tourné autour du grand homme qu’ils surnommaient « Oni-San ». Ont auraient dit qu’ils aimaient bien l’homme brun. L’homme souriait et commençait à partir après cette longue journée. Les saluant il commençait à s’avancé prêt du grand ponton de bois assez solide.

/ CLAP / CLAP / CLAP /

On entendait ces bruits de pas. Celle de ces sandales noire qui se frottaient à la paroi de bois, précisément de chêne, du grand ponton. Au centre du lac ce trouvait une plate-forme ronde ou y était posé quartes longs et grand bancs et juste au centre un grand arbre dont les racines était enfouit dans l’eau. C’est ici que le jeune homme du nom de Sanosuke s’arrêtait un moment. Il contemplait une dernière fois le lac avec un soupir de satisfaction. Ceci prouvait qu’il c’était parfaitement détendu et qu’il avait passé une bonne journée. A ce moment la il ne se serrait pas douté que quelque chose allais ce passé.

Sur la rive les parents d’une jeune petite fille criaient son nom :

Père : « Anna ! Anna ou est tu ?! »
Mère : « Oui ! Anna où te caches-tu bon sang ! »

Sanosuke commençait à s’inquiété. Pourtant il était sur de n’avoir vu personne partir. Il était un peu chamboulé à ce moment précis. L’homme secouait sa tête et reprenais sa route ne ce doutant pas que sa pouvais être si grave.

/// ARGH !!! Aidé moi !!! \\\

Ces mots était arrivé aux oreilles de Sanosuke qui c’était retourné brusquement. C’était la voix d’une petite fille. Le bruit était flou et presque imperceptible. L’homme ce penchais sur les cordes qui tendais le ponton. Il regardait de gauche à droite, de haut en bas. Plus loin il venait d’apercevoir la petite fille dans l’eau, entrain de se débattre pour évité de se noyé. Elle continuait de crié de l’aide. Les hommes et les femmes c’étaient réunit au bord du lac. Sanosuke étend le plus prêt de la petit fille n’avais pas attendu plus longtemps. Après avoir enlevé son Tee-shirt, il venait de s’élancer avant de plonger à l’eau devenu froide.

Des éclaboussements commençait à ce faire du aux mouvements de bras répétitif de l’homme qui allait a toute allure. C’était un peu une course contre la montre car la petite Anna n’allait pas encore tenir très longtemps. L’homme fatigué prenait une longue respiration et après un moment il venait de disparaitre dans l’eau. Les gens aux bords de la rive regardaient avec plus d’impatience la scène. Quelques longues et interminables minutes passaient… Et au bout d’un certain moment la petite fille commençait à couler… L’homme qui venait d’arriver prêt de la jeune fille l’avais approché de ces bras avant de remonter brusquement à la surface. Il commençait à ce rapproché de la rive…

// BRAVO ! BRAVO ! \\

Criaient les hommes et les femmes qui c’étaient réunit tous auprès du grand brun sortant de l’eau. Les parents qui avaient les larmes aux yeux s’étaient empressés de s’approcher de leur petite fille trempée. La mère entoura une serviette de couleur violette autour de la fille. La femme commençait à sécher Anna tout en la serrant fort dans ces bras. Sanosuke, quand à lui, secouait sa tête dans tout les sens pour faire partir l’eau présente dans ces cheveux. Le père d’Anna, qui c’était approcher de Sanosuke, tendait sa main droite.

Père : Merci jeune homme… Merci de l’avoir sauvé…

Sanosuke redressait sa tête humide. Un sourire s’affichait à son visage. Il passait sa main lui aussi dans celle de l’homme juste avant de lui la serrer et de lui dire :

« Sens problème monsieur ! »

Les applaudissements continuaient sous le soleil couchant annonçant une longue et très bonne nuit.

La campagne. Un bel endroit bordé de grands arbres feuillus qui, en cette période, fleurissaient. Un grand et spacieux endroit bordé souvent d’un grand lac ou les enfants s’amuse l’été. Un endroit de détente ou les gens se réunissaient pour passer un bon moment de gaité. Un endroit ou on ne sens pas souvent la tristesse et les tracas que l’on a dans notre tête. Quand on est ici, à la campagne, on profite de la vie du temps qui nous est donné.

C’était la fin de l’après-midi. On entendait les oiseaux chanter là bas, au fond de la clairière. Les petits écureuils commençaient à zigzagué d’arbres en arbres pour enfin retombé sur le gazon verdoyant. Au niveau du lac, on voyait les truites qui plongeaient de temps à autres dans l’eau. Quand elles retombaient, ceci formait des petites ondes créant de toutes petites et fines vagues pas plus grande qu’un petit doigt. Au niveau des bancs, les familles commençaient à rangé leurs affaires dans leurs voitures garé non loin sur un parking. Les enfants, eux, continuaient de s’amusé au bord de l’eau. Ils s’éclaboussaient et se couraient après. L’eau qui étais rejeté des mains de ces petits mômes, ce colorais en une belle couleur rose, orangé, dû au soleil couchant et ces rayons.

Un jeune homme remarquais tous sa de la ou il était. Le grand brun assez rêveur les surveillaient à moitié même si pourtant il ne connaissait aucun de ces gamins. Un sourire commençait à apparaitre. Un assez grand d’ailleurs. On aurait put penser a cette époque que cette personne étais fils unique. Ce qui en était vraiment le cas. L’homme inconnu restait ici pour la belle et bonne raison de rêver à ce qu’il aurait put avoir. A pensé à un bout de sa vie qu’il aurait pu faire.

L’homme s’étirait calmement comme si il venait de se réveiller. Il venait d’attraper un grand et long bâillement de fatigue. Il regardait autour de lui avant de reposer ces lunettes de soleil sur ces grands yeux brun. A ce moment il prenait appuis sur ces pieds et forçait un peut pour ce tenir enfin debout. L’homme s’avançait un peut vers le lac. Il prenait un peut d’eau dans ces mains sèches et un peu rouge avant de les aplatir sur son visage, plein de sueur du a l’air chaud, pour ce rafraichir. Le regard ébahit des jeunes mômes se fît. Ils commençaient à tourné autour du grand homme qu’ils surnommaient « Oni-San ». Ont auraient dit qu’ils aimaient bien l’homme brun. L’homme souriait et commençait à partir après cette longue journée. Les saluant il commençait à s’avancé prêt du grand ponton de bois assez solide.

/ CLAP / CLAP / CLAP /

On entendait ces bruits de pas. Celle de ces sandales noire qui se frottaient à la paroi de bois, précisément de chêne, du grand ponton. Au centre du lac ce trouvait une plate-forme ronde ou y était posé quartes longs et grand bancs et juste au centre un grand arbre dont les racines était enfouit dans l’eau. C’est ici que le jeune homme du nom de Sanosuke s’arrêtait un moment. Il contemplait une dernière fois le lac avec un soupir de satisfaction. Ceci prouvait qu’il c’était parfaitement détendu et qu’il avait passé une bonne journée. A ce moment la il ne se serrait pas douté que quelque chose allais ce passé.

Sur la rive les parents d’une jeune petite fille criaient son nom :

Père : « Anna ! Anna ou est tu ?! »
Mère : « Oui ! Anna où te caches-tu bon sang ! »

Sanosuke commençait à s’inquiété. Pourtant il était sur de n’avoir vu personne partir. Il était un peu chamboulé à ce moment précis. L’homme secouait sa tête et reprenais sa route ne ce doutant pas que sa pouvais être si grave.

/// ARGH !!! Aidé moi !!! \\\

Ces mots était arrivé aux oreilles de Sanosuke qui c’était retourné brusquement. C’était la voix d’une petite fille. Le bruit était flou et presque imperceptible. L’homme ce penchais sur les cordes qui tendais le ponton. Il regardait de gauche à droite, de haut en bas. Plus loin il venait d’apercevoir la petite fille dans l’eau, entrain de se débattre pour évité de se noyé. Elle continuait de crié de l’aide. Les hommes et les femmes c’étaient réunit au bord du lac. Sanosuke étend le plus prêt de la petit fille n’avais pas attendu plus longtemps. Après avoir enlevé son Tee-shirt, il venait de s’élancer avant de plonger à l’eau devenu froide.

Des éclaboussements commençait à ce faire du aux mouvements de bras répétitif de l’homme qui allait a toute allure. C’était un peu une course contre la montre car la petite Anna n’allait pas encore tenir très longtemps. L’homme fatigué prenait une longue respiration et après un moment il venait de disparaitre dans l’eau. Les gens aux bords de la rive regardaient avec plus d’impatience la scène. Quelques longues et interminables minutes passaient… Et au bout d’un certain moment la petite fille commençait à couler… L’homme qui venait d’arriver prêt de la jeune fille l’avais approché de ces bras avant de remonter brusquement à la surface. Il commençait à ce rapproché de la rive…

// BRAVO ! BRAVO ! \\

Criaient les hommes et les femmes qui c’étaient réunit tous auprès du grand brun sortant de l’eau. Les parents qui avaient les larmes aux yeux s’étaient empressés de s’approcher de leur petite fille trempée. La mère entoura une serviette de couleur violette autour de la fille. La femme commençait à sécher Anna tout en la serrant fort dans ces bras. Sanosuke, quand à lui, secouait sa tête dans tout les sens pour faire partir l’eau présente dans ces cheveux. Un homme à la carrure plutôt forte, c’était approcher de Sanosuke tendait sa main droite.

Père : Merci jeune homme… Merci de l’avoir sauvé…

Sanosuke redressait sa tête humide et regardait l’homme qui n’était simplement que le père de la jeune petite fille. Un sourire s’affichait à son visage. Il passait sa main lui aussi dans celle de l’homme juste avant de lui la serrer et de lui dire :

« Sens problème monsieur ! »

La femme et la petite fille pleuraient. Les deux hommes se souriaient et les applaudissements continuaient sous le soleil couchant annonçant une longue et très bonne nuit.

[spoil] La campagne. Un bel endroit bordé de grands arbres feuillus qui, en cette période, fleurissaient. Un grand et spacieux endroit bordé souvent d’un grand lac ou les enfants s’amuse l’été. Un endroit de détente ou les gens se réunissaient pour passer un bon moment de gaité. Un endroit ou on ne sens pas souvent la tristesse et les tracas que l’on a dans notre tête. Quand on est ici, à la campagne, on profite de la vie du temps qui nous est donné.

C’était la fin de l’après-midi. On entendait les oiseaux chanter là bas, au fond de la clairière. Les petits écureuils commençaient à zigzagué d’arbres en arbres pour enfin retombé sur le gazon verdoyant. Au niveau du lac, on voyait les truites qui plongeaient de temps à autres dans l’eau. Quand elles retombaient, ceci formait des petites ondes créant de toutes petites et fines vagues pas plus grande qu’un petit doigt. Au niveau des bancs, les familles commençaient à rangé leurs affaires dans leurs voitures garé non loin sur un parking. Les enfants, eux, continuaient de s’amusé au bord de l’eau. Ils s’éclaboussaient et se couraient après. L’eau qui étais rejeté des mains de ces petits mômes, ce colorais en une belle couleur rose, orangé, dû au soleil couchant et ces rayons.

Un jeune homme remarquais tous sa de la ou il était. Le grand brun assez rêveur les surveillaient à moitié même si pourtant il ne connaissait aucun de ces gamins. Un sourire commençait à apparaitre. Un assez grand d’ailleurs. On aurait put penser a cette époque que cette personne étais fils unique. Ce qui en était vraiment le cas. L’homme inconnu restait ici pour la belle et bonne raison de rêver à ce qu’il aurait put avoir. A pensé à un bout de sa vie qu’il aurait pu faire.

L’homme s’étirait calmement comme si il venait de se réveiller. Il venait d’attraper un grand et long bâillement de fatigue. Il regardait autour de lui avant de reposer ces lunettes de soleil sur ces grands yeux brun. A ce moment il prenait appuis sur ces pieds et forçait un peut pour ce tenir enfin debout. L’homme s’avançait un peut vers le lac. Il prenait un peut d’eau dans ces mains sèches et un peu rouge avant de les aplatir sur son visage, plein de sueur du a l’air chaud, pour ce rafraichir. Le regard ébahit des jeunes mômes se fît. Ils commençaient à tourné autour du grand homme qu’ils surnommaient « Oni-San ». Ont auraient dit qu’ils aimaient bien l’homme brun. L’homme souriait et commençait à partir après cette longue journée. Les saluant il commençait à s’avancé prêt du grand ponton de bois assez solide.

/ CLAP / CLAP / CLAP /

On entendait ces bruits de pas. Celle de ces sandales noire qui se frottaient à la paroi de bois, précisément de chêne, du grand ponton. Au centre du lac ce trouvait une plate-forme ronde ou y était posé quartes longs et grand bancs et juste au centre un grand arbre dont les racines était enfouit dans l’eau. C’est ici que le jeune homme du nom de Sanosuke s’arrêtait un moment. Il contemplait une dernière fois le lac avec un soupir de satisfaction. Ceci prouvait qu’il c’était parfaitement détendu et qu’il avait passé une bonne journée. A ce moment la il ne se serrait pas douté que quelque chose allais ce passé.

Sur la rive les parents d’une jeune petite fille criaient son nom :

Père : « Anna ! Anna ou est tu ?! »
Mère : « Oui ! Anna où te caches-tu bon sang ! »

Sanosuke commençait à s’inquiété. Pourtant il était sur de n’avoir vu personne partir. Il était un peu chamboulé à ce moment précis. L’homme secouait sa tête et reprenais sa route ne ce doutant pas que sa pouvais être si grave.

/// ARGH !!! Aidé moi !!! \\\

Ces mots était arrivé aux oreilles de Sanosuke qui c’était retourné brusquement. C’était la voix d’une petite fille. Le bruit était flou et presque imperceptible. L’homme ce penchais sur les cordes qui tendais le ponton. Il regardait de gauche à droite, de haut en bas. Plus loin il venait d’apercevoir la petite fille dans l’eau, entrain de se débattre pour évité de se noyé. Elle continuait de crié de l’aide. Les hommes et les femmes c’étaient réunit au bord du lac. Sanosuke étend le plus prêt de la petit fille n’avais pas attendu plus longtemps. Après avoir enlevé son Tee-shirt, il venait de s’élancer avant de plonger à l’eau devenu froide.

Des éclaboussements commençait à ce faire du aux mouvements de bras répétitif de l’homme qui allait a toute allure. C’était un peu une course contre la montre car la petite Anna n’allait pas encore tenir très longtemps. L’homme fatigué prenait une longue respiration et après un moment il venait de disparaitre dans l’eau. Les gens aux bords de la rive regardaient avec plus d’impatience la scène. Quelques longues et interminables minutes passaient… Et au bout d’un certain moment la petite fille commençait à couler… L’homme qui venait d’arriver prêt de la jeune fille l’avais approché de ces bras avant de remonter brusquement à la surface. Il commençait à ce rapproché de la rive…

// BRAVO ! BRAVO ! \\

Criaient les hommes et les femmes qui c’étaient réunit tous auprès du grand brun sortant de l’eau. Les parents qui avaient les larmes aux yeux s’étaient empressés de s’approcher de leur petite fille trempée. La mère entoura une serviette de couleur violette autour de la fille. La femme commençait à sécher Anna tout en la serrant fort dans ces bras. Sanosuke, quand à lui, secouait sa tête dans tout les sens pour faire partir l’eau présente dans ces cheveux. Un homme à la carrure plutôt forte, c’était approcher de Sanosuke tendait sa main droite.

Père : Merci jeune homme… Merci de l’avoir sauvé…

Sanosuke redressait sa tête humide et regardait l’homme qui n’était simplement que le père de la jeune petite fille. Un sourire s’affichait à son visage. Il passait sa main lui aussi dans celle de l’homme juste avant de lui la serrer et de lui dire :

« Sens problème monsieur ! »

La femme et la petite fille pleuraient. Les deux hommes se souriaient et les applaudissements continuaient sous le soleil couchant annonçant une longue et très bonne nuit.[/spoil]